Le milieu médiatique ivoirien est en deuil. L’animatrice Nadia Sabeh, également épouse de l’artiste coupé-décalé Ariel Sheney, est décédée ce mercredi 3 décembre 2025, laissant derrière elle une carrière prometteuse et un public sous le choc.
Une disparition brutale qui endeuille les médias ivoiriens
Connue pour son énergie, son professionnalisme et sa proximité avec le public, Nadia Sabeh s’était imposée comme une voix et un visage familiers de l’animation en Côte d’Ivoire.
Sa disparition, annoncée ce mercredi 3 décembre 2025, a immédiatement suscité une vague d’émotion sur les réseaux sociaux et dans le milieu médiatique.
Les messages d’hommage se multiplient, saluant une animatrice appréciée, engagée et respectée de ses pairs.
Au-delà de son rôle d’animatrice, Nadia Sabeh était aussi connue du grand public comme l’épouse de l’artiste Ariel Sheney, figure du coupé-décalé ivoirien.
Souvent discrète sur leur vie privée, elle apparaissait néanmoins régulièrement aux côtés de l’artiste, en coulisses comme lors de certains événements officiels.
Pour les fans d’Ariel Sheney, la nouvelle représente un double choc : la perte d’une animatrice appréciée et celle d’un pilier dans la vie personnelle de l’artiste.
Une pluie d’hommages et de messages de soutien
Journalistes, animateurs, artistes et anonymes ont réagi en nombre pour rendre hommage à Nadia Sabeh.
Certains soulignent sa professionnalité, d’autres mettent en avant sa bienveillance et sa capacité à mettre à l’aise ses invités.
Les messages de soutien à Ariel Sheney et à la famille de la défunte se multiplient, appelant au respect du deuil et à la dignité dans le traitement médiatique de cette disparition.
Un vide pour la scène médiatique ivoirienne
Le décès de Nadia Sabeh laisse un vide dans le paysage audiovisuel ivoirien.
Elle faisait partie de cette nouvelle génération d’animateurs et d’animatrices qui contribuent à moderniser et dynamiser les médias en Côte d’Ivoire.
Sa disparition pose, à nouveau, la question de la mémoire des figures médiatiques et de la façon dont le public et les institutions reconnaissent leur contribution à la vie culturelle nationale.